Aucune image

Le combi, c’est fini

31 octobre 2013 0

Le VW Combi, l’authentique, la version T2, était encore fabriqué sur des chaînes de montage brésiliennes. Mais les icônes n’étant pas éternelles, le tout dernier “vrai” Combi sortira des chaînes dans quelques semaines à peine. Retour sur le parcours at-hyppie-que de ce véhicule qui a marqué toute une génération de routards. A lire dans le Pleins Phares du numéro 1583 en kiosque ce jeudi 31 octobre 2013.

Aucune image

Le Conservatoire insolite

23 octobre 2013 0

Alors que la dernière voiture est produite ce vendredi 25 octobre à l’usine d’Aulnay-sous-Bois (93), rencontre avec Marc-André Biehler qui a succédé à Denis Huille et dirige les activités liées à l’histoire de la marque Citroën. Ce passionné se veut rassurant sur la pérennité du Conservatoire installé sur le même site. Extrait : Le Conservatoire insolite Des autos, des camions, des concept-cars, l’ensemble de la production Citroën, de la type A à la DS5 “présidentielle”, se trouve ainsi rassemblé. Mais les allées et les recoins cachent aussi des objets insolites : les fameux jouets, de nos jours très recherchés, les outils, petits et grands nécessaires à la fabrication, le peigne fourni à chaque acheteur de Visa GT car elle décoiffait, ou encore la DS coffre-fort, spécialement aménagée pour acheminer tous les quinze jours les payes des salariés au départ de Javel vers les usines de la région parisienne. Les enveloppes de billets, au nom de chaque salarié, étaient rangées dans des caisses en bois. Son “manège” fut découvert par des malfaiteurs, et elle fut braquée rue Cauchy à Paris. Pour l’anecdote, signalons aussi une cave à vin, alimentée régulièrement par les clubs et amicales en visite. Autant de témoins qui rappellent l’histoire de cette marque pas comme les autres. A lire dans le Pleins Phares du numéro 1582 en kiosque ce jeudi 24 octobre 2013.

Aucune image

Entretien et outillage

17 octobre 2013 0

Du 16 au 20 octobre, Equip’Auto , “le salon international et biennal de tous les services et équipements pour tous les véhicules”, réunira plus de 1 800 exposants et présentera plus de 150 nouveautés en avant-première. L’occasion idéale de faire le point sur les marques et produits qui ont accompagné l’automobile depuis le début du XIXe siècle. Au début du siècle dernier, le développement de l’automobile a vu naître incidemment une quantité phénoménale de produits, services et équipements liés à son entretien : outillage, nettoyant, dégrippant… Le cas d’Abel Auto est, par exemple, tout à fait caractéristique. À l’origine spécialisée dans les produits d’entretien du cuir et fournisseur officiel de la grande armée de Napoléon, l’officine fut créée en 1802 par M. Abel, qui comprit rapidement les débouchés off erts par l’avènement de l’automobile. Rayon peinture, Glasurit a aussi su tirer son épingle du jeu. Fondée en 1888 par Max Winkelmann en tant que société commerciale de ventes de laques et de colorants, les produits élaborés par la fi rme seront d’abord utilisés pour les bateaux, mais aussi sur le tramway de Hambourg. Mais ce sont les peintures PPG qui ont obtenu le marché des véhicules militaires alliés au cours de la Deuxième Guerre mondiale . Dans le secteur des toiles à poncer, en 1921, la société américaine 3M lance un papier de verre qui peut être utilisé aussi bien avec de l’eau qu’avec de l’huile. Cette innovation sera suivie en 1925 par la création du ruban adhésif de masquage. Retrouvez l’article de Bertrand VIET dans le Pleins Phares du numéro 1581 en kiosque ce jeudi 17 octobre 2013.

Aucune image

Ces constructeurs qui entretiennent vos anciennes

10 octobre 2013 0

Depuis quelques années, les constructeurs automobiles allemands ont développé des ateliers dédiés à l’entretien et à la restauration des anciennes de leur marque. Et ils s’implantent en France !

Aucune image

Bientôt, un centre de loisirs auto en France ?

2 octobre 2013 0

Le collectionneur d’autos anciennes doit bien souvent résoudre seul ses problèmes de stationnement, entretien, restauration. Certains rêvent de leur offrir une structure multiservices. Entrevue avec Martin Halder, créateur de Meilenwerk À Stuttgart depuis 2010 et en projet à Berlin, à Hambourg et à Zurich» «J’ai créé le concept de Meilenwerk (NDLR, littéralement “l’atelier pour faire des kilomètres”) en 2010. C’est un lieu pour partager une certaine culture de l’automobile. Ses premiers centres se situent à Stuttgart et auparavant Dusseldorf (NDLR, l’accord a été rompu en 2011). D’autres sont en projet à Berlin, Hambourg et Zurich, villes choisies pour leur forte densité d’amateurs de véhicules de collection. Ils combinent sous un même toit tous les services que cette population ciblée peut désirer.» Ils regroupent donc des professionnels de l’achat-vente de véhicules, des loueurs, des restaurateurs et des garages où faire entretenir sa voiture. Une de leurs particularités réside dans les boxes vitrés qui peuvent être loués par les collectionneurs pour garer leurs autos, qui restent visibles des visiteurs. Inutile de préciser qu’aucun jerrycan ou chiffon par terre n’est toléré. Les restaurants, bars, hôtel et espaces club à la décoration rappelant l’automobile sont des lieux de rencontre où l’on parle essentiellement de locomotion. «Chaque centre Meilenwerk combine immeuble historique, architecture moderne unique, très aérée et autos vintage. À Stuttgart, il s’agit de l’ancienne aérogare de Böblingen ; ailleurs des usines désaffectées», explique Martin Halder, par ailleurs enseignant en école de commerce, ardent défenseur du bien culturel automobile au Bundestag et spécialisé depuis 2000 dans le développement d’immeubles pour des fonctions ciblées. «C’est le premier à être conçu comme une affaire commerciale et non un loisir.» MEILENWERK, www.meilenwerk.com Retrouvez l’article de Bruno Leroux dans le Pleins Phares du numéro 1579 en kiosque ce jeudi 3 octobre 2013.