Aucune image

7e Avignon Motor Festival

30 mars 2009 0

L’année des Bugatti Du 20 au 22 mars, le salon d’Avignon était le deuxième endroit au monde où l’on pouvait voir autant de Bugatti… après le musée de Mulhouse, bien sûr ! «On m’a dit qu’il y en a 80, entre celles exposées dans le hall 1 et celles inscrites au rallye Trophée Jacques Potherat. Je n’en avais jamais vu autant !», s’exclame un visiteur. Manifestement, c’est l’année ou jamais pour visiter le salon d’Avignon. Déjà l’an dernier, je m’étais senti frustré de manquer le rassemblement d’Amilcar C6. Mais là, l’allée centrale couverte de Type 13, 35, 51 double arbre, la 45 à 16 cylindres, la 59 à moteur 50B victorieuse de la Coupe des prisonniers 1945 avec Wimille, la 251 à moteur transversal du GP de Reims 1956, pilotée par Trintignant… Comment s’y prennent Camille Bourges, Pierre-Antoine Faure et Bruno Charasse pour monter de telles expos ? «Notre moteur, c’est de faire plaisir aux amis collectionneurs, répondent-ils en chœur. Tout a commencé avec la renaissance du circuit d’Avignon-Vaucluse. Lorsque les autorités l’ont interdit, nous nous sommes demandé ce que l’on pouvait faire d’autre. L’idée d’un salon a germé, d’abord de petites dimensions… Et puis il a grandi. Aujourd’hui, Avignon Motor Festival occupe les 12 halls du parc des expositions et ses parkings.» Article complet dans LVA n° 1358 disponible en kiosque le jeudi 2 avril 2009.

Aucune image

32e Antwerp Classic Salon (Belgique)

20 mars 2009 0

Des anglaises originales et raffinées Du 6 au 8 mars, les clubs et les marchands de voitures ont combiné leurs atouts pour faire du 32e Classic Salon d’Anvers un des meilleurs évènements européens. «C’est un très beau salon et les clubs contribuent beaucoup à son succès. Le stand d’honneur, par exemple, est fort bien animé par l’un de nos clubs» : Peeter Henning jubile sur le stand de la Fédération belge au cœur du Salon d’Anvers. Il fait allusion spécialement à la mise en scène proposée par l’English Drivers Guild, un club d’Anvers composé de 130 membres tous désireux d’exprimer leur anglophilie dans l’automobile et dans tous les autres domaines possibles. Ce sont eux qui animent le stand d’honneur du salon, entièrement voué à la gloire des vieilles marques anglaises. Ils ont rassemblé du beau matériel : Connaught L2 MPH 329 de 1949 (la première !), Triumph Italia 1960 (encadré), AC Bristol (463 exemplaires entre 1955 et 1962), Lola T70 Mk III de 1969 (16 exemplaires seulement), MGA 1958, une Mini bien sûr et encore une vraie Morris Minor 1969 de la police anglaise. On aurait évidemment pu ajouter des Jaguar et des Rolls mais la sélection présentée avait le mérite de l’éclectisme et de l’originalité. La Connaught, notamment : le premier exemplaire du premier modèle de la marque ! Il s’agissait d’une voiture de sport à deux places, à carrosserie aérodynamique, animée par un moteur Lea-Francis 4 cylindres de 1767 cm3 développant 102 ch. Ce n’est qu’en 1950 que Connaught a produit sa première vraie voiture de course, une monoplace de F2 à moteur un peu plus puissant. Corr. Luc Scournaux Article complet dans LVA n° 1357 disponible en kiosque le jeudi 26 mars 2009.

Aucune image

Rouler en GT italienne pour moins de 30 000 €

16 mars 2009 0

Pour qui aime la belle mécanique, les multicyclindres multisoupapes sophistiqués, les sportives transalpines sont bien entendu le Graal. Leur sonorité enivrante, leur nom synonyme d’exploits sportifs font rêver. On peut pourtant en trouver pour moins de 30 000 €. Chiche ? Quelles sont les marques qui viennent en tête du hit-parade des collectionneurs ? Bugatti, Ferrari. Pourquoi ? Parce que ces deux constructeurs ont placé la technologie mécanique et les performances en tête de leur cahier des charges. Parce qu’ils ont ainsi inscrit leur nom au palmarès sportif mondial. Bugatti ne produit plus (enfin, en principe) et sera toujours inaccessible au plus grand nombre. Ferrari en revanche est toujours actif et dans sa gamme passée, il y a forcément chaussure à votre pied. D’autant qu’elles ont été déclinées en 6, 8 et 12 cylindres. Dans cette lignée, n’oublions pas non plus les Maserati, Lamborghini, Alfa Romeo et autres, qui n’ont pas à rougir dans l’ombre du mythe ! Nous avons sélectionné cinq modèles qui s’échangent actuellement en état correct entre 10 et 30 000 € : la Ferrari 308 GT4 que les amateurs de rallyes redécouvrent pour sa maniabilité ; la Maserati Biturbo, plus récente mais aux accélérations stupéfiantes ; la Lamborghini Urraco, qui demande de solides compétences de mécanicien de précision pour profiter de son exclusivité ; l’Alfa Romeo Montreal, dont le V8 est directement issu de la compétition ; et enfin la De Tomaso Lonchamp, la seule dont le V8 n’est pas né en Italie. À la noblesse de leur mécanique, les GT transalpines allient souvent un style élégant et original, une “griffe” aussi identifiable que celle d’un grand couturier. Il se trouve que depuis 1945, les stylistes italiens ont dominé la carrosserie. Cela ne fait qu’ajouter au charme de ces autos. Alors, ont-elles tout pour plaire ? […]

Aucune image

Raid en Patagonie

2 mars 2009 0

On achève bien les Deux Chevaux Ce raid Patagonia a été une terrible épreuve pour les 2 CV. Quarante petites Citroën sont parties à l’assaut de la Pampa, de la Patagonie et de la Terre de Feu avec pour point d’orgue, Ushuaïa, ville la plus australe du monde : 5 400 km de torture. Bloqués en douane Après de longs mois de préparation, les participants se retrouvent dans le port du Havre, afin d’y déposer les voitures : destination Buenos Aires. Six semaines plus tard, ils débarquent en Argentine pour les récupérer. Dans le port, une série de démarches administratives débute. En théorie, quelques heures sont nécessaires pour les expédier. Mais une longue vérification des documents et le zèle des douaniers nous paralysent. Deux jours perdus à l’accomplissement des formalités : le début de raid est crispant. Article complet dans LVA n° 1354 disponible en kiosque le jeudi 5 mars 2009. Photos : Frédéric-Hubert BERLEQUE