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Les anciennes en tournage

24 novembre 2008 0

Mesrine, l’ennemi public n° 1 Le diptyque Mesrine a utilisé 1 500 voitures ! Jusqu’à 150 pour une seule scène, avec autant de conducteurs plus les figurants, techniciens et même des vigiles pour interdire de faire des photos… Résultat, un reportage à la “paparazzi” parfois flou et mal cadré ! Une BMW s’engage sur la place. Coincé derrière un bus, un Saviem SG 2 veut déboîter. Le conducteur de la “béhème” le laisse passer. Soudain, le SG2 pile, la bâche se lève et un feu nourri d’armes automatiques arrose la BMW. Les passants paniqués plongent sur le trottoir. Puis le silence. Un homme s’approche de la voiture et, d’une balle dans la tête achève l’ennemi public n° 1 : Jacques Mesrine ! Vous êtes sur le tournage de la dernière scène du film, un final grandiose et violent. La porte de Clignancourt, à Paris, au même endroit qu’en 1979, a carrément été bouclée par la production et la police. Une foule de badauds est tenue à distance. Le film béni des collectionneurs Lorsqu’on a l’habitude de louer ses anciennes pour le cinéma, il y a des films où l’on se dit : «Celui-là, il faut y être !». Et tout le monde ou presque y était : loueurs spécialisés, clubs, amateurs… Certaines scènes utilisent tellement de voitures que des amis n’arrivent pas à se retrouver. L’histoire se déroulant des années 50 jusqu’à 1979, beaucoup de collectionneurs ont réussi à louer la majorité de leur collection. Il y en a même qui ont profité de ce tournage pour agrandir leur flotte… Et la rentabiliser. Article complet dans LVA n° 1340, disponible en kiosque le jeudi 27 novembre 2008. Photo : N. F./Roger Arpajou (© La petite reine)

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Youngtimers

14 novembre 2008 0

Occase ou collec ? On ne regarde plus les Peugeot 505 ou les Fiat 127 comme des occasions : orphelines ou laissées pour compte, elles entrent bel et bien en collection.Petit test : quand avez-vous vu pour la dernière fois rouler une Renault 14, une Renault 20, une Citroën LNA, une Fiat 131 ou une Austin Maestro ? C’est vrai qu’en restaurer une relève du sacerdoce. D’un autre côté, ne pas les détruire fait partie du devoir de mémoire. Alors pourquoi ne pas rouler avec ? Comme vous êtes nombreux à avoir franchi le pas, nous avons décidé de vous laisser la parole… et nous vous avons entendus. Pour être honnête, beaucoup de ces autos sont déjà entrées dans le monde des amateurs. Soit elles appartiennent à une lignée qui a ses inconditionnels (Citroën 2 CV, Mini, Renault 4 ou Volkswagen Coccinelle), soit leurs avancées technologiques ou leurs qualités dynamiques les ont distinguées du lot. Aujourd’hui, leur réputation demeure et les clubs viennent relayer la désaffection des réseaux des marques à leur égard. C’est le cas des Citroën GS ou CX, voire des Peugeot 205 GTi et autres minibombes des années 80. Mais, quid des autos dites normales, reléguées dans la classe infamante des petits prix ? Ou, pis encore, de celles qu’on a sacrifiées sur l’autel des reprises : juppettes, balladurettes et autres victimes des campagnes d’assainissement du marché ? Article complet dans LVA n° 1339, disponible en kiosque le jeudi 20 novembre 2008. Photo : Philippe GUTIÉRREZ

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London to Brighton Veteran Car Run (Angleterre)

10 novembre 2008 0

Impossible n’est pas français Avec leurs drôles de machines, 24 équipages français ont traversé la Manche, direction Londres, pour être au départ du “Brighton”. Jamais ce rallye unique au monde n’avait accueilli un tel contingent de frenchies.Le béret sur la tête et la baguette sous le bras. Ainsi les Anglais se représentent-ils leurs voisins français. Sans compter un goût immodéré pour les cuisses de grenouilles… Un ciel gris et bas, dégoulinant jusque dans les souliers. Voilà l’image que beaucoup de Français ont du pays de Shakespeare. À leur arrivée, les 24 équipages français n’ont pas eu de surprise. La baguette a pris la forme d’un croissant et les grenouilles sont devenues subitement insaisissables. Le béret, pour sa part, n’a pas quitté le crâne de nos aventuriers, qui ont déambulé dans les rues londoniennes tels les fameux gendarmes promenant leurs képis à New York. My flowers are beautiful… Pas facile, pour nombre d’entre eux, de se faire comprendre tant les Anglais ne font pas d’effort question langues vivantes. Pas facile, non plus, la barrière de la monnaie. Pas facile, enfin, de se dire qu’on va circuler à gauche, au cœur de la fourmilière londonienne, au volant d’une auto plus que centenaire. Article complet dans LVA n° 1338, disponible en kiosque le jeudi 13 novembre 2008. Photo : Hugues CHAUSSIN

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8e Automédon au Bourget (Seine-Saint-Denis)

3 novembre 2008 0

Le salon qui ratisse large Ce rendez-vous parisien est un cas à part. Il ratisse chaque année plus large chez les passionnés de mécaniques. Et ça marche ! Ils ont eu 160 m2 gratuitement ! Vous en connaissez beaucoup des salons (parisiens ou non) qui vous offrent une tel espace ? Ces 25 et 26 octobre, l’équipe du TR Register est sur un nuage : «La contrepartie est de faire un stand attrayant. Et puis surtout, on a promis à l’organisateur d’Automédon, de faire venir des journalistes.» Et il n’y a pas que la presse qui plante son appareil photo. Le public aussi est impressionné et mitraille. «On a voulu refaire un mini-Goodwood, avec le paddock et le circuit… On a mis cette TR 2 sur la “piste” mais on fête les 40 ans de la TR 5. Vous savez, cette Triumph a eu une courte vie, d’octobre 1967 à fin 1968. Il n’y en a eu que 2 947 construites et elle n’a pas eu le temps de courir. On n’est pas prêt de refaire un stand comme ça !». Article complet dans LVA n° 1337, disponible en kiosque le jeudi 6 novembre 2008. Photo : Etienne Ripet