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Circuit International des Remparts à Angoulême (Charente)

29 septembre 2008 0

30 ans et tous ses fans En 1978, un groupe de passionnés décidait de faire revivre la tradition automobile angoumoisine au travers d’une exhibition d’autos anciennes. 30 ans après, l’événement ne s’est jamais aussi bien porté. «Saisissante». Tel est le qualificatif employé par Jean-René Tillard, “monsieur Remparts”, pour résumer la course finale de cette 30e réédition du Circuit. Si vous n’y étiez pas – quel dommage – imaginez un instant : un pilote de F1, Érik Comas, au volant d’une agile et efficace Alpine A 110 Groupe 4, opposé à celui qui détient le record du tour à Angoulême, Miguel Langin et sa puissante Porsche 911 Carrera RS. Deux pilotes expérimentés, spectaculaires et respectueux, qui ont tenu la foule en haleine durant 20 minutes : «L’empoignade a été propre mais superbe. Nous venons de vivre un duel noble, exulte Jean-René, ému de constater que le public est resté suspendu à cette course jusqu’à sa dernière seconde. D’habitude, à 18 h, il n’y a presque plus personne dans les tribunes. Les gens se disent “tant pis, je pars plus tôt, je préfère éviter les encombrements”. Là, je n’ai vu personne quitter sa place. Les gradins sont restés bondés et la foule plus enthousiaste que jamais». Ah ! La ferveur du public angoumoisin… Ceux qui n’ont jamais vécu un week-end aux Remparts ne peuvent pas comprendre. Sans doute s’agit-il du seul circuit français où la communication, voire la complicité entre les pilotes et les spectateurs est la plus intense. Les uns s’emploient généreusement alors que les autres se lèvent, applaudissent, applaudissent à nouveau et applaudissent encore. Article complet dans LVA n° 1332, disponible en kiosque le jeudi 2 octobre 2008. Photo : Fred Veillard

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WEEA sur le circuit de Reims-Gueux

22 septembre 2008 0

Une histoire de cœur La première édition du Week-end de l’excellence automobile avait surpris les sceptiques. La seconde édition, les 13 et 14 septembre, a confirmé l’engouement pour le circuit de Gueux. L’autocollant “I love le circuit de Gueux” ornait nombre de pare-brise lors de cette deuxième édition du WEEA. D’apparence anodine, ce sticker de l’association des Amis du Circuit de Gueux entend matérialiser au grand jour l’attachement de la population pour les vestiges du circuit, fermé depuis 1969. Le dossier est devenu sensible au plan local. La fête a été malmenée par des conditions météo désastreuses le samedi, avec une pluie lancinante tout l’après-midi. Le spectacle n’en était que plus beau, presque surréaliste, les pilotes étant manifestement décidés à ne pas faire semblant. Le plateau 1 notamment était spectaculaire puisque réunissant les plus anciennes, délicates à mener sur le mouillé : Amilcar CGS, Alvis, Bugatti 35, 402 Darl’mat, Delahaye 135, reconstitution de la 2 CV Barbot des records, HWM 3e à Reims en 1950, ou Léon Bollée 6 cylindres 1911, la doyenne… Le lendemain, la ronde des tracteurs mobilisés par la commune de Thilloy pour sortir les visiteurs du bourbier des parkings en plein champ n’était plus qu’un mauvais souvenir. Un feu d’artifice particulièrement nourri le samedi soir avait eu raison de la pluie. Le dimanche, le soleil était revenu, le public aussi. Article complet dans LVA n° 1331, disponible en kiosque le jeudi 25 septembre 2008. Photo : Michel Roux

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Les anglaises sont-elles fiables ?

15 septembre 2008 0

Vrai ou faux ? Les voitures anglaises représentent une grande part du parc collection. Pourtant, la vox populi prétend qu’elles ne sont pas fiables. Vrai ou faux ? Pourquoi ce paradoxe ? Les anglaises ne sont pas fiables. Voilà le souverain poncif, le roi des clichés, au même titre que les américaines consomment et que les italiennes rouillent ! Mais on n’entend plus guère cette niaiserie que dans les rangs des néophytes qui veulent montrer qu’ils s’y connaissent. Histoire de vérifier, posez donc la question au monsieur qui descend de sa TR3. Bon an mal an, le bonhomme fait 200 bornes par semaine en “rallye saucisson” et ne se souvient pas d’avoir changé autre chose que l’huile du moteur depuis sa restauration. Et il vous prendra pour un benêt. Qui aurait l’idée de poser la question de la fiabilité des françaises ou des allemandes ? Pourtant, chacun sait qu’elles recèlent des boîtes de vitesses limitées, des pignons céloron scélérats et des distributions pas gratuites. Cela étant, puisqu’il faut répondre à la question, posons-nous-en deux autres à titre de prolégomènes : Quelles sont ces anglaises ? et Qu’est-ce que la fiabilité ? Article complet dans LVA n° 1330, disponible en kiosque le jeudi 18 septembre 2008.

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58e Concours d’élégance de Pebble Beach

9 septembre 2008 0

Fantastique semaine californienne Du “Concours on the avenue” de Carmel, les 11 et 12 août, entièrement gratuit, jusqu’aux “Rolex Monterey Historic Automobile Races”, sur le circuit de Laguna Seca du 15 au 17 août, on l’appelle la “Concours Week” ! Le Concours d’élégance de Pebble Beach, le 17 août, constitue le sommet d’une semaine qui se déroule dans la péninsule de Monterey, à 2 heures de route au sud de San Francisco. D’année en année, les événements automobiles s’ajoutent, si bien qu’il faudrait se diviser en quatre pour pouvoir jeter un coup d’œil sur tous. Tout passionné d’anciennes y trouvera son bonheur : concours, courses, rallyes, ventes aux enchères d’autos, pièces et automobilia, soirées, premières mondiales… En 2007, le Concours d’élégance de Pebble Beach avait mis à l’honneur les marques Aston Martin, Duesenberg, Auburn et Cord. Cette année, en plus de célébrer les 50 ans de la Ferrari 250 GT Spyder California et les 100 ans de General Motors, Lancia et Lamborghini étaient sur le devant de la scène. Article complet dans LVA n° 1329, disponible en kiosque le jeudi 11 septembre 2008. Photo : Cathy DUBUISSON