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L’automobile de collection à Dubaï

14 janvier 2010 0

L’eldorado des supercars Dubaï est le plus connu des sept Émirats arabes unis, par ses projets immobiliers et touristiques pharaoniques : île artificielle en forme de palmier, piste de ski indoor, immeuble le plus haut du monde… Et depuis peu menace de faillite. Y a-t-il des collectionneurs auto ? … Pour le passionné d’automobiles, les rues et routes des Emirats apparaissent comme un jardin d’Eden au goût exquis de salon de l’auto, version itinérante. Un jour, nous avons fait un test. Posté à un rond-point de la Corniche d’Abu Dhabi, nous avons vu défiler sous nos yeux, en l’espace de quelques dizaines de minutes, tout ce que le monde produit de voitures de prestige et de sportives de haut niveau : Maybach, Mercedes SLR, Ferrari, Lamborghini, Maserati et Bentley Continental, dont le coupé et le cabriolet sont particulièrement diffusés dans les Emirats. Quant aux Porsche Cayenne et 911, nous ne les avons pas comptées… Le Porsche Center de Dubaï se classe au premier rang mondial en termes de ventes. Tout comme le show room Maserati, qui expose son trophée en bonne place dans une vitrine. Porsche, qui entretient habilement son image, exposait récemment ses modèles historiques (356 et 911 dans ses diverses générations) au Dubaï Mall, l’un des centres commerciaux géants de la région. Article complet dans La Vie de l’Auto n° 1394 du 14 janvier 2010

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London-Brighton 2009

13 novembre 2009 0

Les dames de fer Il pleut. Ils roulent à gauche. Ils sont vêtus « so british ». Mais ils gardent le sourire, l’auto-dérision et le fairplay qui font leur charme. Et puis ils roulent dans des automobiles fabuleuses.  Ils avaient démarré de Londres passionnés et ils ont rejoint enthousiastes Brighton comme l’équipage de cette James & Browne 1902. Article complet dans La Vie de l’Auto n° 1385 du 12 novembre 2009

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Nissan contemple son passé

4 novembre 2009 0

Pour beaucoup, l’automobile japonaise date du milieu des années 60. Normal, c’est la date de l’arrivée des premières nippones en France et en Europe. Nissan c’était Datsun avec comme mascotte un lapin aux grandes oreilles… Exceptionnellement nous avons pu nous rendre dans l’entrepôt où le constructeur rassemble tous ses modèles. Un endroit interdit au public. Visite guidée dans LVA 1384. Article complet dans La Vie de l’Auto n° 1384 du 5 novembre 2009

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19e rallye des ancêtres à Compiègne (Oise)

14 octobre 2009 0

En prenant le temps de remonter le temps « Quand on a roulé 3 heures, on a l’impression que cela ne fait qu’une heure qu’on est parti ». Voilà ce qui explique sans doute que près de 70 équipages étaient au rendez-vous de Compiègne. Depuis 2003, le Rallye des ancêtres se déroule en Picardie, le premier week-end d’octobre dans le cadre du château de Compiègne et de la forêt du même nom. Article complet dans LVA n° 1381 du 15 octobre 2009

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A nos lecteurs

9 octobre 2009 0

Nous sommes déjà en été. Et qui dit été dit forcément vacances. Toute l’équipe de LVA vous souhaite de passer de bons moments de détente… Sûrement au volant de votre ancienne préférée ! D’ailleurs nous publions en pages 16 et 17 la carte de France avec les points de chute des amis LVA, si vous rencontrez quelques ennuis mécaniques bien entendu improbables… C’est aussi cela LVA, une grande famille ! Nous ne prenons pas de vacances (enfin pas tous !) et vous retrouverez LVA tout au long des deux prochains mois mais à un rythme bimensuel : les 9 / 23 juillet et les 6 / 20 août. Des numéros plus importants avec fin juillet un spécial « Vacances d’autrefois », une page BD retraçant la fabuleuse histoire de « la Traction 22 » et un reportage exclusif qui vous tiendra en haleine tout juillet. Bonnes vacances à toutes et tous… Avec LVA ! Article complet dans LVA n° 1370 du 25 juin 2009

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Concours d’élégance de Villa d’Este (Italie)

12 mai 2009 0

80 ans de création automobile Le 1er septembre 1929 eut lieu le tout premier concours d’élégance sur les bords du lac de Côme. On fêtait ses 80 ans fin avril. Initialement baptisé “Coppa d’Oro Villa d’Este”, le premier concours d’élégance de 1929 s’est tenu à l’initiative conjointe de l’Automobile club de Côme, le Grand Hôtel Villa d’Este et le comité de cure de Côme. Le succès fut immédiat et dura presque sans interruption jusqu’en 1937. Lorsque les bruits de bottes s’éloignèrent, il eut encore lieu en 1947 et pour la dernière fois en 1949, où le public plébiscita le coach Alfa Romeo 6 C 2500 SS connu depuis sous le nom de “Villa d’Este”. À cette époque, la carrosserie traversait une crise sévère : seuls les rares à passer le cap de l’industrialisation survécurent, les autres fermèrent. Quant au concours, il revit le jour sous la forme historique en 1986, puis en 1995… Depuis dix ans sous le haut patronage de BMW, 80 des plus belles, des plus étonnantes, des plus historiques voitures construites depuis les années vingt y affluent de nouveau. Non seulement de toute l’Europe, mais des États-Unis, du Mexique, et pour la première fois du Japon ! Et ce magnifique décor italien ajoute un charme et une chaleur que l’on ne trouve pas sur la côte californienne, la référence en la matière de concours d’élégance. Par où commencer ? Les organisateurs jouent encore une fois dans l’exceptionnel. Noblesse oblige, les grandes classiques des années 20 et 30 s’imposent, nous verrons ensuite les après-guerre avec ce que l’on peut appeler le retour des “belles disparues”. Article complet dans LVA n° 1364 du jeudi 14 mai 2009. Photo : Xavier de Nombel

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18e Tour Auto Optic 2000

5 mai 2009 0

La loi des chevaux Au scratch, la puissance a fait la différence. Chaussées sèches et routes sans pièges ont fait le jeu des gros cubes, GT 40 et Cobra. Entendre la Ford GT40 dégringoler une petite route encaissée, en pleine déglutition, et mourir. Voilà l’un des plaisirs simples dont les pervers que nous sommes se repaissent en assouvissant leurs pulsions. Et, à en juger aux gens massés aux carrefours, aux entrées de virages et aux contrôles horaires, nul n’en a honte. Autant dire que, sur 2 000 km, cela fait du monde. Sur les parcours de liaison, vous pouvez poser le road book, il y a toujours un pékin pour indiquer le chemin. Article complet dans LVA n° 1363 disponible en kiosque le jeudi 7 mai 2009. Photo : Philippe GUTIÉRREZ et Frédéric VEILLARD

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Enchères à Fontainebleau

20 avril 2009 0

Les cigognes sont de retour Début de saison satisfaisant pour Jean-Pierre Osenat : près de 30 véhicules vendus sur 56 présentés, avec en vedette pas moins de trois Hispano-Suiza. Ces trois nobles autos au radiateur orné de la célèbre cigogne provenaient d’une collection espagnole, mais une seule était sortie des usines de Barcelone : une 3,7 litres type 49 recarrossée dans le style des années 30. Les enchères dans la salle se sont arrêtées à 56 500 € sur cet élégant cabriolet, qui devrait partir à 60 000 € après négociation. Sorties des ateliers de Bois-Colombes, les deux autres ont été âprement disputées entre la salle et le téléphone : 120 000 € pour le prototype 20 CV I 6, habillé vers 1935 d’une caisse “demi-berline” Vanvooren à portes arrière dissimulées et 205 000 € pour le superbe faux-cabriolet K 6 signé Binder. Commandée en 1935 par l’industriel sucrier Béghin, restaurée par les meilleurs spécialistes (Lecoq pour la carrosserie et la sellerie, Rossigneux pour la mécanique), cette auto avait été très remarquée sur le stand Osenat lors du dernier Rétromobile. Et il n’y avait pas que celles-ci pour retenir l’attention des amateurs de voitures d’avant 1940, depuis une amusante bicylindre Renault à carrosserie bois apocryphe (10 000 € au marteau), jusqu’aux deux Ford V8 françaises d’origine (18 000 € le coupé 1936, 20 000 € le cabriolet 1939). Mention spéciale pour la berline Morris-Léon Bollée au pedigree cinématographique. 9 000 €, ce n’est vraiment pas cher pour une auto “bourgeoise” restaurée, au moteur culbuté et fiable ! Article complet dans LVA n° 1361 disponible en kiosque le jeudi 23 avril 2009. Photo : Claude BOHÈRE – Bruno LEROUX

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21e Techno Classica d’Essen (Allemagne)

14 avril 2009 0

L’auto ancienne immunisée contre la crise Si le secteur de l’automobile est en difficulté, ce n’était pas visible au Techno Classica d’Essen. Cette grand-messe de l’auto de collection reste un lieu de passion, sans référence aux soucis des constructeurs. Public nombreux, organisateurs satisfaits, vendeurs confiants, tout concordait cette année encore pour donner une image optimiste et réjouissante de l’automobile ancienne. Reste à voir s’il y aura eu des transactions et à quel niveau de prix. Mais on ne doit pas trop se tracasser à propos du résultat global : l’auto de tous les jours est un choix de raison alors que l’auto ancienne répond à la passion. Mille exposants venus de 28 pays, 165 000 visiteurs de 41 pays, 1 100 journalistes de 30 pays, 300 fournisseurs de pièces, 70 restaurateurs professionnels, 80 marchands de miniatures, 2 500 voitures anciennes à vendre et on pourrait encore allonger la liste. Techno Classica est réellement le grand rendez-vous mondial de l’auto ancienne. Au point qu’on dit que c’est le baromètre du secteur. Et qu’indique-t-il le baromètre ? «Les professionnels regardent l’avenir avec optimisme. En ces temps de crise économique, beaucoup d’investisseurs placent leurs espoirs dans des valeurs sûres et se décident en faveur de trésors automobiles. Nous nous attendons à une augmentation continue des transactions sur le marché», dit-on chez SIHA, la société qui organise la manifestation. Article complet dans LVA n° 1360 disponible en kiosque le jeudi 16 avril 2009. Photo : Luc SCOURNAUX

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1er Paris-Nice automobile

6 avril 2009 0

Un rallye d’homme ! Il a fallu 6 mois à Jean-Paul Hoepfner pour faire renaître l’un des rallyes les plus difficiles. Du 26 au 28 mars, le Paris-Nice Automobile a séduit une quarantaine d’équipages qui n’ont pas été épargnés par les surprises. Le programme était alléchant, un peu comme une carte de restaurant qui promet beaucoup. Pourtant, à l’heure du service, l’assiette paraît soudain bien vide, voire fade pour les plus mécontents. Si les trois circuits promis sont bien là pour faire monter l’adrénaline, les huit spéciales sur routes fermées ont fondu comme neige au soleil pour se résumer à deux épreuves. Le plus malheureux dans l’histoire n’est autre que l’organisateur, Jean-Paul Hoepfner, qui s’est investi sans compter pour la réussite de son épreuve. Il a le sentiment d’avoir subi des jalousies et des trahisons qu’il s’explique difficilement. Article complet dans LVA n° 1359 disponible en kiosque le jeudi 9 avril 2009. Photo : Alain PATRICE