Qui n’a pas rêvé d’avoir accès à un local tout équipé pour se réunir, “mécaniquer”, se documenter ou stocker son auto ? Certains clubs, comme Auto rétro 57, offrent cette opportunité à leurs membres. Les acteurs de ce succès expliquent comment ils y sont parvenus.
Par Laurence REYTER
En 1993, Auto rétro 57 cherche un local. La mine de Faulquemont et les bâtiments du carreau de la mine, oeuvre de l’architecte Léon-Joseph Madeline, sont fermés depuis 1974. François Lavergne, maire de Créhange, vice-président du conseil général de la Moselle et président du District urbain de Faulquemont (DUF), décide de redonner une âme à cette friche industrielle en y installant ce club. Une première remise en état est eff ectuée mais les bâtiments n’étant pas sécurisés, seuls quelques membres sont autorisés à s’y installer avec une dizaine d’autos. En 1994, Auto rétro 57 signe un partenariat avec le DUF, qui prend à sa charge d’importants travaux de réhabilitation et, en 1997, les locaux, nommés Centre de conservation scientifi que et technique de l’automobile (CCSTA) sont inaugurés…
A lire dans le n° 1619, en kiosque le jeudi 10 juillet 2014.