L’auto de collection, un placement rentable
En matière de placements financiers, les Français privilégient la pierre à la bourse, l’indétrônable livret A et l’assurance-vie. Et pourquoi ne pas investir dans l’auto ancienne ? Investir dans les voitures anciennes, quand CAC 40, Dow Jones et Nikkei dévissent, c’est très tendance. Tous les magazines financiers y vont de leurs articles vantant “ces tacots qui valent de l’or”. … La plupart des collectionneurs n’ont aucune ambition spéculative, juste celle d’améliorer leur cheptel. On vend pour acquérir une pièce plus rare, plus sportive, plus adaptée à l’usage que l’on en fait… Il se trouve que par un double phénomène de multiplication des amateurs et de reconnaissance patrimoniale, leur valeur ne fait que croître. Les scores records enregistrés en ventes aux enchères (lire LVA n°1533 du 15 novembre) servent de locomotives à un marché en expansion. Qui aurait pu imaginer que des pays émergeants n’ayant aucune culture automobile, comme la Chine, s’intéresseraient à l’auto de collection ? C’est pourtant ce qui arrive. L’aspect placement financier qu’elle revêt aujourd’hui n’échappe pas aux investisseurs du monde entier. Lire la suite dans le n° 1535 de La Vie de l’Auto, en kiosque le jeudi 29 novembre.